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En forgeant notre Conscience... Partie 2
- Alors, t’en penses quoi? dis-je à Baël, en lui montrant un début de maison
Je le regardai droit dans les yeux, en attendant une réponse. Il ne dit rien. Je continuais, en lui montrant un autre exemple que je venais de faire:
- Euh… On peut aussi faire un truc dans ce genre, non?
- ...
- Bon, je te laisse y réfléchir, je rejoins Ratou pour voir ce qu’il fait. Si jamais tu te sens pas bien, je peux t'aider, tu n'as qu'à me le dire.
- Tu penses vraiment que tu peux m'aider ? Tu ne fais même pas partie de notre famille. Ratou est mon frère, toi, tu n'es qu'un ami.
J'avala le peu de salive qu'il me restait pour me diriger vers son frère.
Je rejoignis Ratou, laissant le possesseur seul avec lui-même ne sachant que faire avec cette personnalité si... impassible. Je me mis à trottiner dans la ville à la recherche de Ratou. Celui-ci était en pleine réflexion pour savoir comment embellir son bâtiment, comme il le fais souvent. Je m’approchais, et il me dit: « Attends Inky… » J’attendis, sans bouger. Au bout de quelques minutes de recherche et de placements de décorations, il vint à moi :
- Ok, qu’as-tu Inky ?
- Rien de spécial, je voulais juste te poser une question. dis-je songeur
- Ah ?.. Et quelle est cette question ?
- Euh… Tu sais pourquoi Baël est si contrarié ces temps-ci ? demandais-je gêné
- Il t'as rien dit ? me demanda Ratou. Il me semblait te l’avoir déjà dit hier soir… Et bien, son but a toujours été de me protéger... Quand je ne vais pas bien, il fais de même. Ne t'inquiète pas, me dit-il toujours un grand sourire au visage
- Bizarre, me dis-je tout bas
Je décidai donc d'aider Ratou avec ses idées, lorsque, dans le fond de la ville, on entendit une explosion. Ratou s’y dirigea avec un orbe de téléportation, et moi, j’y couru le plus vite possible.
Nous vîmes, en premier, un trou d’un diamètre de presque 4 mètres et ensuite, on vit Baël à terre. Ratou accourut vers lui pour l’aider et me lança : « Va chercher de quoi le soigner ! » . Il me jeta deux orbes. Je me téléportais de mon mieux dans ses appartements pour récupérer des potions et de la nourriture. Je revins aussi vite que je pu et arrivai devant Ratou et Baël. Je fus légèrement choqué de la scène qui se posa sous mes yeux.
Ratou était dégoulinant de sueur tenant l'épée de Baël à la main. On aurait pu croire qu’une horde d’ennemi était venue attaquer la ville, encore une fois. Par contre, ils avaient l'air beaucoup plus nombreux que la dernière fois. Je me ruais vers eux, jetai le sac contenant les ressources à Ratou qui l’attrapa. Il me dit: «Viens m'aider à ramener Baël à l’intérieur pour nous mettre aussi à l’abri, tout de suite ! ». J’exécutais sans dire mot et nous allâmes dans la maison presque terminée la plus proche.
Ratou commença à soigner Baël tandis que moi, je montais la garde. J’entendis un bruit à l’extérieur. Sans avoir le réflexe de prévenir Ratou, j’allai voir ce qu’il se tramait à l’extérieur afin d’identifier le bruit. Je m’avançais et aperçus quelque chose que l’on pourrait assimiler à une ombre. Cette ombre m’était très familière mais… pas du bon côté, elle me fit d’ailleurs reculer de quelques pas. Je pris mon courage à deux mains et me dirigea vers cette silhouette. Je criais : « QUI ÊTES-VOUS ? », essayant de faire passer ma voix au-dessus des hurlements du vent et de la tempête de sable, qui me paraissait autant étrange, puisqu'il n'y avait pas de tempête il y a à peine 2 minutes. La silhouette se dirigea vers moi. Mon épée était dégainée, je la tenais fermement, quand je sentis une sorte de bras visqueux grouiller entre mes jambes. Je regardais par horreur une tentacule munie de piques, qui étaient rétractés dans les dites ventouses, s’enroulant autour de ma cheville. Celle-ci m’attrapa si rapidement que je ne pus voir son déplacement et je m’effondrais subitement proche de ce qui, dans le mouvement, frappa ma tête contre le sol et me fis perdre connaissance sur le coup.
Un lieu sombre plutôt animé sous une chaleur pesante, voilà les premières analyses que je pouvais faire au moment de mon réveil. « Je suis attaché ! » pensais-je à voix haute regardant les liens qui me maintenaient, et la pièce dans laquelle j’étais. Des gouttes de transpiration coulaient sur mon front, la chaleur était supportable, et l’air extérieur n’arrivait pas jusqu'où je me trouvais. De petites pierres tranchantes étaient éparpillées par terre au sol. Je décidais alors d’en attraper une pour couper les cordes qui me maintenaient captif. J’allais alors près d'un trou dans le mur afin de pouvoir respirer un peu mais l’air était très lourd et difficile à inspirer. C’était effectivement très animé, mais je voyais que les habitants de cet endroit ne vivaient pas, mais travaillaient, ils ne faisaient que travailler. J'entendais des bruits de pas avec un rythme constant, comme des robots ! Je décidai alors de commencer à réfléchir par la façon dont j’allais m’évader. Je regardais autour de moi, « rien » me dis-je. Il n’y avait aucun moyen pour m’échapper. Je fouillai mes poches espérant trouver quelque chose mais, évidemment, je n’avais plus rien.
Je retournai regarder à travers le trou dans le mur afin de pouvoir identifier les alentours. Je vis mon équipement non loin de là où j’étais enfermé. « Je vais attendre que des gardes viennent me chercher, je serai alors caché derrière la porte et je foncerai sur mon équipement afin de trouver de quoi me protéger… » songeais-je, « Ou alors j’attends que Ratou et Baël viennent me chercher… Non, je vais mettre mon plan à exécution, et s’ils arrivent, ce ne sera que mieux. ».
Quelques heures passèrent, l’attente commençait à devenir longue, quand soudain, j’entendis des fracas à l’extérieur. Je me cacha vite derrière la porte. La porte s’ouvrit et je fonça à l’extérieur sans même regarder qui sont les personnes qui m’ont enfermé. J’attrapai mon épée et regardais ce qu’il se passait autour de moi. Je vis quelqu’un se faire jeter en prison tandis que des sortes de monstres se dirigeaient vers moi pour me rattraper. Je savais à peu près me servir d’une épée, le fait de de regarder Ratou ou Baël combattre m’avait appris quelques bases. Je pensais d'ailleurs à tout ce que Baël pratiquait hier. Je m'engageais alors un combat à un contre deux. L’avantage était bien sûr pour les deux créatures, mais je sentais au fond de moi que je pouvais y arriver.
Je posais alors ma garde afin de pouvoir me protéger des différents coups donnés pas les monstres, qui attaquaient avec les tentacules piquantes. Après quelques coups reçus, je décidais enfin d’attaquer. Je plongeais vers l’avant afin de planter le premier ennemi venu, mais une fois arrivé au sol, rien. Le monstre s’était déplacé avec beaucoup plus de rapidité que j'avais imaginé. Celui-ci décida de m’attaquer avec une vitesse toute aussi violente. J’avais cru réussir à le bloquer mais il avait modifié sa trajectoire d’attaque pour me toucher sur le côté. J'atteris, une seconde après d'être écrasé au sol, contre un rocher non loin. Peu étourdi, je me remis en place, prêt au combat. Mais le coup d’après fut aussi puissant et surprenant que le dernier. « Me revoilà au point de départ », me dis-je pendant que les monstres me trainaient au même endroit que j'étais avant, avec encore plus de matériel de sécurité. Par contre, je n’étais pas seul, une silhouette que je reconnus était avec moi. Je m’approchais de toutes mes forces, et découvris Ratou qui était, lui aussi, amoché, peu loin de ma petite cellule.
Une nuit passa, une nuit où on était bloqué dans cette prison minuscule où l’on pouvait à peine respirer. De même, Ratou ne m'avait même pas remarqué. Le matin, j'entendis des bruits drôlement étranges provenant de l'extérieur de notre prison. Quelques minutes passaient et Ratou se réveilla enfin. « Inky ! Inky, c'est toi !Ça va ? Me demanda-t-il surpris ».
- Moins fort, ils sont juste à côté ! De ma part, je crois que ça va, enfin, parlons plutôt comment tu t'es ramassé ici toi aussi.
- Je suis venu te chercher, ça me semble logique. Dit-il d’un ton soudainement calme.
- Merci ! Dis-je un peu gêné. Par contre, ce n'est pas le plus important pour l’instant, il faut que l’on trouve comment s’échapper. Les euh… monstres de cet endroit semblent répéter un certain son depuis quelques minutes.
- D’accord, je vois… As-tu un plan ?
- Non, on a rien pour s’échapper ici, c’est le vide intersidéral ! On a juste ce trou où on peut regarder. On peut à peine y passer un bras.
- OK, alors, Inky, je vais te montrer un truc.
J’acquiesçais, et il s’éloignait d’un pas. Une soudaine brume l’entoura et je vis sa silhouette se rétrécir. Oui, comme s’il rapetissait à vu d’œil. La brume commença à s’estomper, et je vis quelque chose au sol. C’était un rat ! Ratou avait le pouvoir de se transformer en rat ? Pourquoi ne pas m’en avoir parler avant ? Encore des questions qui ne pourront pas, hélas, être résolues. Par un petit mouvement de pattes, il me fit signe de le déposer dans le trou pour qu’il puisse trouver un moyen de s'échapper. Je le passais donc à travers.
Après à peu près une trentaine de minutes, la porte s’ouvrit. « Ratou ! » , dis-je. Il me fit le signe de me taire et je sortis. Il fallait agir de façon rapide et discrète, puisque les gardes n'étaient pas loin. Nous longions alors les murs qui étaient le plus à l’ombre. On se mit alors à courir et nous nous cachions dans un coin un peu perdu de cette drôle de ville. On se colla sur un mur, et je traversais tout d'un coup à travers une sorte rideau assez épais qui ne laissait pas sortir la lumière. Une fois relevé dans cette salle que j’aurais décris comme « secrète », j’y découvrais l’histoire de ce « peuple » de monstres. Une gravure montrant la création de ces créatures. Une usine mise elle-même sur pied pour mettre en marche ces créatures. Je cru lire sur la gravure quelque chose comme « Krags ». Était-ce le nom de ces créatures repoussantes ? Soudainement Ratou m’appelait. « Inky, qu’est-ce que tu fais ? »
- J’ai trouvé des gravures sur les monstres, apparemment c’est des « Krags », mais le reste me semble incompréhensible.
- Oh, regarde, il y en a même sur le plafond. Penses-tu qu’un maître les contrôle ?
- Je sais pas, il faudrait vérifier.
- On verra plus tard, on s’en va !
Ratou venait de retrouver deux orbes de téléportation dans le fond de ses poches, il m’en donna une, et nous nous échappions alors de cet horrible endroit. Nous arrivions alors à Conscience, notre ville, après une longue nuit de marche. Je sentais que Ratou n’était pas serein, il s’inquiétait pour Baël, qui s'était retrouvé seul peu après que Ratou a dû venir me sauver. Le jour tombait, nous nous hâtions de rejoindre Baël qui était sans doute en train de chercher Ratou, ou bien encore sur le sol, assomé. On se sépara ainsi pour le retrouver. J’allai du côté orangé de la ville et Ratou du côté rougeâtre. J’arpentais les rues quand je failli me faire couper en deux. Une épée rouge et orange me pointait, c’était Baël. Il avait du croire qu’un monstre le suivait. « Où est Ratou ? » me demanda-t-il fermement. Je lui expliquais que nous le cherchions, et qu'on s'était séparé pour faire ainsi. Nous rejoignîmes Ratou et expliquâmes à Baël nos mésaventures :
- Est-ce que tu connais ce que sont les « Krags », Baël ?
- Oui… Réponda-t-il de façon sèche.
Ratou voyait que Baël semblait dans un autre état
- Quelque chose ne va pas, encore ? Dit Ratou
- Vous n’auriez pas du les rencontrer…
- On a pas vraiment eu le ch… Baël me coupa
- Il y a de ça bien des années, j’étais amoureux d’une jeune fille, elle se promenait souvenant non loin de la ville.
- Tu connaissais une fille ? Mais je l’ai jamais vu moi, affirma Ratou en riant
- Oui, cela c’était passé lorsque tu venais d’arriver dans notre horrible monde. Je jouais avec elle chaque jour, et une fois, je l’avais invité à dormir dans notre modeste maison. Mais, il s’avérait que ce n’était pas une bonne personne, ou même une personne. Elle me tua dans mon sommeil, et lors d’un dernier souffle, je vis une créature affreuse.
- Tu es… mort ? Dis-je légèrement sous le choc.
- Oui… et non. Mon père m’a guérit, mais en faisant cela, il s’est retiré la vie. Il m’a transféré sa conscience, ce qui fait que mon caractère n’est pas comme celui de Ratou, et c'est aussi pourquoi mon côté de la ville est différent. Voilà la raison pour laquelle j’ai dû élever Ratou par mon jeune âge, seul avec ma mère, qui s'était, quelques jours plus tard, enlevé la vie, probablement sous le choc.
- De plus, c'est la raison pour laquelle Ratou n’a pas vraiment connu son père, ni sa mère. Bref, personne d'autre que moi. Ratou a toujours été fragile, il a eu énormément de misère depuis jeune âge, car tu sais, un enfant a préférablement besoin de ses parents lors de sa naissance.
Ratou restait muet, le regard perdu, par la découverte d’une telle partie de sa vie expliquée dans ce contexte.
- Inkylos, l’endroit où vous étiez, quelle était son ampleur ? Me demande Baël
- Eumh… Je pense qu’il doit être aussi grand que la ville, bredouillai-je
- Oh non… non... murmura-t-il. D’accord, rebâtissons les maisons en ruine, détruites par l’explosion l'autre jour. Il ne faudrait pas qu'il nous attaque encore avec notre ville dans cet état.
Nous allions alors remettre la ville en ordre, mais Ratou semblait toujours bouleversé par cette nouvelle. Nous le laissions alors seul. « Est-ce qu’on doit reboucher le gros trou, Baël ? Demandais-je. » Il me répondit le fait que cela n’est pas possible, et qu'il est trop profond. Ce trou, ainsi posé, marquait la séparation entre les deux côtés de la ville, pour toujours. Au fond du trou s'était formé une lueure mauve, mais ce n'était pas important de savoir c'était quoi exactement, me dis-je. À la fin de cette journée, nous allâmes nous coucher, mais je vérifiais avant que Ratou était rentré chez lui. Il faisait les cents pas et ne comptais pas dormir à mon avis, je le laissais alors pour rejoindre mon chez moi pour dormir. Il avait l'air de prendre conscience de sa situation.
Le lendemain matin, je me réveillais après une nuit peu réparatrice et allais voir chez Ratou, il dormait toujours sur l’une de ses chaises, je lui mis de quoi le couvrir et allai donc voir Baël. J’arrivai chez Baël et découvris une maison vide, je cherchai alors aux alentours, personne. Je courus chez Ratou pour le prévenir de la disparition de Baël. Il arrive toujours des mésaventures avec lui ! J’arrivais dans la maison de Ratou, en criant son nom, il sortit et me demandait ce qu’il se passait.
- Baël a disparu ! Lui dis-je le souffle court
- Encore ? Tu as regardé partout autour ? Me demanda-t-il légèrement endormi
- Oui, enfin, je crois
Nous commencions alors à chercher quelque chose qui pourrait nous mettre sur une piste. Non loin de chez lui, je trouvais des traces inverses qui menaient directement dans la direction vers laquelle nous étions revenus lors de notre voyage. J’appelais Ratou et notre marche vers l’empire des Krags recommença, mais cette fois-ci, de façon volontaire. Arrivés sur les lieux, nous dûmes user de notre furtivité afin d’éviter les Krags, en suivant les traces de Baël. Un amas de traces de toutes sortes se mélangèrent à celles de Baël. Ratou s’inquiétait. Il y avait sans doute eu un combat à cet endroit, Baël avait dû se battre contre plusieurs Krags. Je savais qu’il était puissant, mais à chaque preuve de celle-ci, j’étais brutalement ramené au fait qu’il était vraiment très fort. Je croyais que c'était impossible de battre cette espèce après mon combat d'avant-hier.
Nous continuions de suivre les traces, alors, nous arrivâmes devant une énorme grotte, les traces de Baël allaient à l’intérieur. Nous les suivions jusqu’à ce que l’on entende des voix. Nous nous cachions alors derrière un rocher et écoutions ce qu’il se disait.
- N’amène pas mon petit frère et son ami dans notre combat, Kai’ro !
C'Ă©tait probablement le nom d'un chef.
- Tiens, Baël, mon petit cadeau empoisonné t’avait-il plu ? Dit-il en riant
Baël avait commencé à prendre son épée dans son dos. Ratou, lui, aurait voulu sauter sur le maître des krags pour se battre.
- Je ne compte pas te tuer… dit Baël en pointant son épée vers lui, mais tu sais que je pourrais revenir te couper les membres et te tuer.
Baël sortit rapidement, et se dirigeait vers un énorme bâtiment qui semblait être situé vers les profondeurs de la terre. Ça semblait être l’usine de Krags, comme l’avait montré la gravure.
Une explosion se déclencha dans l’usine, nous nous y précipitâmes, et vîmes Baël détruire l’usine à grands coups d’épée. Mais, dans l’action, il ne vit pas qu’une tentacule l’avait attrapé et jeté dans la substance qui était proche de lui, coulant des machines à Krags. Ratou voulut sauter pour le sauver, mais je l’arrêtai et lui expliquai qu’il était plus judicieux de balancer une corde pour le sauver, car on ne savait pas ce qu’était cette substance. Nous remontions Baël le plus vite possible, et coururent à l’extérieur pour ne pas exploser avec l’usine, qui dégageait de la fumée mauve. Une fois à l’extérieur, nous nous accrochâmes à Ratou, et il lança un obre de téléportation qui nous fit échapper de l’empire des Krags.
Nous fûmes de retour à Conscience, nous allions tous bien, mais Ratou et moi vîmes que Baël essayait de cacher son bras gauche.
- Tout va bien, Baël ? Demandai-je
- As-tu quelque chose au bras ? Demanda Ratou gentillement
Baël nous montra son bras, et nous découvrîmes qu’à la place de son bras, il y avait maintenant une sorte de tentacule qui semblait bouger sans l’ordre de son propriétaire.
Nous attendîmes un rire terrifiant, s'approchant de nous, augmentant en volume, ne voulant pas s'arrêter. Ce qui était troublant, c'était que Baël aussi commençait à rire. Je savais que le but de Baël était de protéger Ratou, mais soudainement, tous se tournèrent vers moi. Avec des regards tout autant amical d'un côté, et effrayant de l'autre, je ne savais plus ce qu'il m'arrivait.
Image faite par Ratou, aussi le teaser de cette histoire.
- Ratou ;P - Baël et - Inkylos
Gros merci à Inkylos, qui a écrit l'histoire entière, en collaboration avec Ratou.
Édité par
Panda _Bael
, jeudi 19 mars 2020 Ă 06:19 -
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